1933: Charles Darrow se souvient d’un jeu de son enfance, le Landlord’s game et crée à partir de lui, le Monopoly.
Symbole par excellence du capitalisme – sauvage – le jeu vise à l’acquisition immobilière effrénée et l’anéantissement des autres concurrents. Le hasard y a une grande part, qui peut faire basculer un destin, sans crier gare. Gares qui sont, à ce titre, des valeurs sûres d’acquisition, puisqu’il ne faut les doter ni d’hôtel ni de maisons…
Inconvénient majeur: la longueur des parties. A conseiller par temps de pluie, ou à phaser pour éviter l’ennui.
Mondialement connu, le jeu connaît de multiples versions, nationales, internationanles (cfr le Monopoly européen), régionales ou publicitaires. Il se joue désormais sur Internet, perdant ainsi l’un de ses principaux attraits: le comptage manuel des joyeux billets…
Apolline Elter
Rendez-vous dimanche prochain : Mastermind au rendez-vous. Sans doute mon jeu préféré.
Ca existe aussi en Carte banquaire 😀
C’est trop bien
P.s Il est géniale ton blog <3
Merci Sybille: votre commentaire me ravit.
Bienvenue tant que vous voulez (quand votre maman vous y autorise!)
Très cordialement,
Christine Jadoul