Parution, ce 2 mars, vingtième anniversaire du décès de Serge Gainsbourg :
« Les Manuscrits de Serge Gainsbourg » : Chansons, brouillons et inédits, édition établie et commentée par Laurent Balandras
Je vous invite à podcaster La Librairie francophone de ce week-end (site de France Inter) et l’interview de Laurent Balandras.
Extrait du site, l’argument de l’ouvrage:
«Sans technique, un don n’est qu’une sale manie», chantait Georges Brassens. Serge Gainsbourg ne le savait que trop, lui qui, pourtant, aimait faire croire qu’il « balançait ses lyrics » avec facilité. On découvre à travers les fac-similés de ses manuscrits un artiste remettant inlassablement sur la métier le matériau de sa création. La plume sergent-major de Gainsbourg nous révèle ici la genèse d’autres interprètes. Sont aussi présentées de nombreuses œuvres inédites – dont ses toutes premières – et des chansons extraites de la bande originale de ses films.
Le coffret est ponctué d’extraits de scénarios, de partitions annotées, de pages de son roman, d’aphorismes, de rares dessins, de reproductions de ses agendas Hermès où les séances d’enregistrement côtoient les recettes de cuisine…
Provenant en partie de la collection personnelle de Charlotte Gainsbourg, ces manuscrits sont éclairés par les témoignages de quelques-unes de ses interprètes : Isabelle Adjani, Jane Birkin, Catherine Deneuve, Françoise Hardy, Anna Karina…
L’ensemble forme un bouquet passionnant, nerveux et émouvant, où se dévoilent l’atelier du peintre, l’antre du parolier, qui, chez Gainsbourg, forment un seul et même espace. Une invitation à contempler et à surprendre le génie dans ses errances et ses fulgurances.(Textuel)
Laurent Balandras est un auteur qui aime la Musique avec un grand M., qui a travaillé chez Universal et a été l’éditeur musical d’Olivia Ruiz ou encore Marie Nimier, Pascal Sevran…
(lemague.net)
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Communiqué de presse
Ce 2 mars, il y aura exactement 20 ans, que l’enfant terrible de la musique française, Serge Gainsbourg, est décédé. Son ancien domicile, le fameux 5 bis rue de Verneuil est depuis sa mort en 1991 entièrement couverts de graffitis et de poèmes. Cette maison devenue mythique peu de temps après la mort de Gainsbourg est immortalisée par le photographe Yannick Ribeaut. Les photographies, initialement prévues pour Charlotte Gainsbourg, sont pour la première fois en vingt ans publiées dans le livre
Dans ce livre, il publie pour la première fois des photos uniques, combinées avec des dizaines de projets de textes et notes de Gainsbourg laissés à son ami et majordome Fulbert Ribeaut. Un témoignage authentique !
Yannick Ribeaut, photographe français, a publié entre autres dans Le Monde et Télérama. Il a été aussi lauréat de différents concours de photographies.
GAINSBOURG INSIDE, Yannick Ribeaut, cat. beaux livres, 122 pp, 24,99 €.
Serge Gainsbourg a partagé sa maison de la rue de Verneuil à Paris pendant sept années avec son maître d’hôtel Fulbert Ribeaut, qui était un véritable ami. Cette maison, juste après la mort de Gainsbourg, a été abondamment photographiée par le cousin de Fulbert, Yannick Ribeaut.
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