Notre revue de presse du jour salue la parution du tout saignant roman policier d’Andrea H. Japp (l’auteur dont nous avons hautement apprécié la saga de Druon de Brévaux – chroniques sur ce blog)
En voici l’argument, extrait du communiqué de presse:
« Être chercheuse n’est pas de tout repos. Hélène Audibert s’en rend compte lorsqu’elle débarque un matin dans son labo et découvre la tête d’un de ses collègues posée sur son plan de travail. Certes, le défunt, Stéphane Lambin, un odieux cancrelat selon elle, ne fait pas partie des êtres qu’elle regrettera, mais quand même. La chercheuse au caractère explosif en a soupé des cadavres, après avoir été mêlée à une affaire de triple meurtre. L’enquête débute, menée par un inspecteur, Levasseur, tout sauf amène. Il devient d’ailleurs de plus en plus désagréable lorsqu’un deuxième puis un troisième meurtre suivent. D’autant que pas mal d’indices incriminants pointent en direction d’Hélène, qui trouve que le meurtrier charge un peu la mule. Et puis, comment se fait-il que les cadavres, décapités ou poignardés n’ont presque pas saigné ? Aidée de ses cinq amies qui n’ont pas froid aux yeux, dotée d’un sens de la diplomatie d’éléphante adulte, elle fouine de son côté quitte à provoquer de grosses vagues. Les six filles vont de mauvaises en exécrables surprises. Les gens ne sont vraiment pas ce qu’ils semblent être… c’est la conclusion à laquelle parviendra Hélène lorsqu’elle comprendra que le meurtrier est fermement décidé à lui faire la peau!
Les cadavres n’ont pas froid aux yeux, Andrea H. Japp, roman policier, Ed. Marbaout, mars 2011, 292 pp, 18,9 €
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