Le propos intrigue – il s’interroge sur la possibilité de vivre, de nos jours, un amour courtois dans la pure tradition médiévale, ses codes, ses impératifs.
Je ne l’ai pas (encore) lu mais saisis la thématique valentine de la semaine pour vous en livrer l’argument, du point de vue de l’éditeur.
« Johann, médiéviste passionné, multiplie les rencontres amoureuses sans grande satisfaction. Jusqu’à ce jour où il fait la connaissance d’une de ses étudiantes, Aurore, en qui il reconnaît aussitôt la « Dame » de ses rêves, celle que chantait Wolfram von Eschenbach, chevalier et poète du Moyen Age. Comme dans un songe, Johann et Aurore vont s’aimer et décliner les trente et un codes du fin’amore, l’amour courtois. À travers la douleur et l’extase, ils vont chanter les délices du plaisir de la chair, découvrir le cérémonial d’une Cour d’amour, explorer de nouvelles sensations, traverser les épreuves de la passion. Au risque d’en perdre la raison…
Renouant avec le romantisme allemand qui lui est cher, Joël Schmidt nous entraîne dans un voyage au cœur de la sensualité et de la littérature, explorant l’amour dans sa dimension mystique avec autant de finesse que d’érudition. »
Les amants, Joël Schmidt, roman, Ed Albin Michel, janvier 2014, 190 pp, 16 €
Commentaires récents