Notre revue pascale de l’actualité littéraire pointera ce jour, la parution, le 19 mars, auprès des éditions MA, de
Le dernier Léonard de Vinci, de Fiona Mc Claren (traduit de l’anglais par Lucie Clarence), 360 pp, 19,9 €
Argument (extrait du site de l’éditeur)
Imaginez un tableau ancien, représentant une vierge à l’enfant. D’une beauté sereine et envoûtante, il est dans votre famille depuis tant d’années qu’il semble n’avoir plus rien à vous apprendre. Pourtant le désir d’en percer les mystères devient de plus en plus pressant. Vous appelez des experts. Aussitôt, ils s’émeuvent : et si ce tableau, dont on a fait cadeau à votre père, était l’oeuvre d’un élève de Léonard – voire du grand maître lui-même ? Vous vous mettez à chercher, à échanger avec des universitaires et des institutions du monde entier. Les résultats de votre enquête sont rien moins qu’ahurissants. Que faire si ce tableau témoignait de l’une de plus grandes hérésies de notre temps ? Et s’il révélait une incroyable aventure que l’Église romaine catholique avait tenu à garder secrète par tous les moyens depuis des siècles ?
Un défi à l’un des pilliers de l’histoire officielle de l’Eglise.
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