Je ne fais jamais les courses chez "Parcequefour".
Ceci pour trois raisons:
Primo, je préfère le confort de l’aise. Et puis, les produits sont, me semble-t-il, conditionnés avec plus d’humanité.
Deuzio: le passage aux rayons livres, table, bain et électro-ménager est toujours fatal à mon sens défaillant de l’économie. Entrée jeudi matin sous prétexte d’acheter trois lits de camp en super-promo (29 € au lieu de …29 €,- fin de la promo: mardi 22 avril à 20 h), j’en suis sortie, caddy plein, portefeuille vide. Et avec ça même pas de quoi remplir le frigidaire. Dans un sens, tant mieux, ce dernier vient de nous lâcher.
Tertio: affichant les fraises espagnoles quatre fois moins cher que leurs consoeurs wépionnaises, l’enseigne a bafoué mes principes écologiques les pus ancrés, conséquence directe de la raison "deuzio".
Tandis que je prenais l’ascenseur et que je maintenais, aimable, la porte ouverte au passage d’une grand-mère et de son petit-fils, ce dernier s’est fendu d’un pleur de panique devant l’air naturellement avenant que je lui destinais. Et la grand-mère d’enchérir, saisissant l’horrifié dans ses bras: "Ne t’inquiète pas, Maxime, Mamy est là". Le fard. Le four.
Non décidément, Parcequefour, ce n’est pas mon genre.
Apolline, Carrefour de sentiments
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