« Un peu de patience et je saurai tout, mais vous savez, ma bonne que c’est une vertu qui n’est guère à mon usage«
Marquise de Sévigné (Lettre à sa fille, la comtesse de Grignan, 2 décembre 1671)
Comme je vous comprends, chère marquise,
Apolline Elter Les pensées épistolières du lundi
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