« Et bientôt,machinalement, accablée par la quantité de linge à ranger, je portai à l’armoire une pile fraîchement repassée. Mais à l’instant même où la pile gagna sa place, je tressaillis, attentive à ce qui se passait d’extraordinaire en moi. Un plaisir délicieux m’avait envahie, isolé, sans la notion de sa cause »
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D’ici là, portez-vous bien
Apolline E. Du côté de chez (Le) Chat. A la recherche de l’été perdu.
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