Tandis que Valérie T. (é)gratine son ex-fromage, nous souscrivons à mâchoires ardentes aux mobilisations civiques et éthiques en faveur de nos pommes et poires nationales.
Chaque jour, une pomme garde son homme dit le dicton
Et une poire, son espoir …
S’il ne plaît à Vladimir P. de manger nos récoltes, consommons-les, locales, de l’entrée au dessert, quintuplant ainsi le plaisir diététique d’un fruit fondant, suave et aimable.
Entre fromage et poire, oubliez le laid Russe..un peu fort de café
Apolline, Les pensées fruitières du lundi
Bravo pour les jeux de mots 🙂
et oui, moi qui n’achetais jamais de poires, je m’en fais un devoir ces temps-ci (et je me demande ce que ces pauvres Russes sont encore autorisés à manger 😉
Merci Adrienne – vous me faites doublement plaisir!
Moi aussi, j’acquiers le réflexe- « poire » et j’y prends goût….. Je vais investiguer de nouvelles recettes, de nouveaux accommodements pour en consommer davantage, à long terme!
On ne poira plus s’en passer…
Apolline