« Si ne pouvons éviter le caractère inéluctable de la mort – qui participe de notre solidarité universelle – nous devons chérir et soigner la beauté de l’instant, « instance d’éternité » dont rien ni personne ne pourront faire qu’il n’ait pas existé. »
Apolline, Les pensées instantanées du lundi 13 janvier.
Réflexion librement inspirée des Cinq méditations sur la mort, de François Cheng (Ed. Albin Michel, oct 2013 – chronique sur ce blog, mercredi 15 janvier)
Commentaires récents