"L’ingratitude – disait Balzac, dans sa célèbre, mais oui, Physiologie du Mariage – vient de l’impossibilité de s’acquitter."

La sentence n’est pas top, j’en conviens; le fond, bien.

En d’autres termes, si certaines gens ne prennent pas la peine de remercier, c’est tout bonnement parce qu’ils n’en ont pas les moyens : moyens de coeur, d’imagination, de simple courtoisie. Les pauvres.

 Corrolaire: savoir remercier -à bon escient – révèle la supériorité morale, intellectuelle, la bonne gestion de coeur et temps de celui qui pratique cette discipline.

  Le tout est bien sûr de ne pas en abuser.

  Non, non, ne me remerciez pas. 

  Méditez. 

  Apolline.

  Février 2009

Les blondes pensées du lundi