C’étaient deux délicieux vieillards, qui conversaient, penchés l’un sur l’autre. Leur attitude se révéla, hélas, relever davantage de l’arthrose que d’une inclination particulière.
Dommage.
Apolline, Les pensées inclinées du lundi.
C’étaient deux délicieux vieillards, qui conversaient, penchés l’un sur l’autre. Leur attitude se révéla, hélas, relever davantage de l’arthrose que d’une inclination particulière.
Dommage.
Apolline, Les pensées inclinées du lundi.
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l’art rose.
…. dommage , j’aurais bien aimé imaginer deux vieux amoureux … bisous,
brigitte guillaume