Cette formule sublime vous la devez à Bruno Coppens et à un « café serré » époustouflant en date du vendredi 24 avril – je vous invite à le podcaster sur le site de La Première (RTBF) – qui traitait avec délicatesse, humour et émotion du centenaire du génocide arménien
« Quatre consonnes, quatre voyelles: un mot rageur pour décrire l’hémorragie »
En vérité, je vous le dis, Bruno Coppens est un conteur hors pair
Apolline, Les pensées saisies (d’admiration) du lundi
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