Tandis que j’aspirais, hier, notre nouvelle terrasse – la pratique est courante dans nos contrées – mes narines furent saisies d’effluves du plus subtil effet. Le parfum de séchage des draps familiaux, tout frais lavés, se repandait à travers le vide ventilé.
Une bouffée de reconnaissance me saisit que je destinai à l’entrepreneur. Je fis serment de coordonner désormais tous les dîners au séchage du linge et d’adapter le choix du détergent au menu composé.
Les folles aspirations d’Apolline
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