Il vaoût saoûtvient, je n’en daoûte, su sublime Charmer, s’égarer, mourir (Ed. Albin Michel) que la romancière Christine Orban consacrait au portrait intime, fabuleux de la Reine Marie-Antoinette
Je vous invite à cliquer sur la couverture en vitrine du blog pour (re)découvrir le billet de faveur, par l’auteur consacré. A nous rejoindre en novembre au salon « Ecrire l’Histoire » mais ça, c’est une autre histoire… nous aurons tout le loisir d’en reparler.
Si elle devait entreprendre le tour du monde, à pied, Christine Orban nous a confié qu’elle emporterait à coup sûr l’oeuvre de René Girard. Et de préciser: » Mensonge romantique et vérité romanesque. »
Décédé fin 2015, le célèbre anthropologue avait notamment écrit le célébrissime essai La violence et le sacré, décrit le phénomène du Bouc émissaire, …élaboré la « théorie mimétique »
(Photo issue de Photomag.com)
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