Nos quatrièmes de couverture vont bon train, bon 4×4:
Après Un été à Bluepoint, son premier roman, Stuart Nadler poursuit l’exploration des liens familiaux en s’attachant à trois générations de femmes qui vivent un moment charnière de leur existence.
Boston, de nos jours. Avec la mort de son mari, Henrietta Olyphant, a tout perdu. Confrontée à de sérieuses difficultés financières, elle accepte à contrecœur que soit réédité le roman osé qu’elle a publié dans sa jeunesse : Les Inséparables. Jugé trash à l’époque, il est devenu culte mais a valu à son auteur, féministe engagée et universitaire accomplie, d’être rejetée par ses pairs.
Au même moment, Oona, sa fille, brillante chirurgienne de quarante ans, débarque chez elle après avoir quitté son mari. Sans savoir que Lydia, sa propre fille âgée de quinze ans, vit un cauchemar depuis que circule une photo d’elle dénudée dans son prestigieux pensionnat…
Bientôt réunies, toutes trois devront faire face à leurs désirs, à leurs contradictions et à leurs tabous.
Notre famille détermine-t-elle notre destinée ? Comment devient-on femme ? Incisif, brillant et d’un humour digne de Woody Allen, un roman très contemporain dans lequel on retrouve le talent éblouissant de Stuart Nadler pour disséquer la psychologie humaine et ses complexités.
Les inséparables, Stuart Nadler, roman traduit de l’anglais (USA) par Hélène Fournier, Ed. Albin Michel, mai 2017, 404 pp
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