Des dieux sans pitié

 

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Notre exploration des quatrièmes de couverture aimablement fournies par les éditeurs , nous offre l’argument Des dieux sans pitié, 

 

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Âmes sensibles, s’abstenir !

Sauvages, puissants, dérangeants, crus, quinze textes portés par l’écriture rageuse de l’enfant terrible des lettres australiennes, pour continuer à nous interroger sur une société multiculturelle et décadente où couvent haine, racisme et frustration et où nous avançons, tels des dieux sans pitié.

Serait-ce ça, la vie ? Des amitiés d’antan qui se brisent et laissent place à la vie d’adulte, aux contacts sporadiques et lointains ; l’être aimé qui apparaît soudain sous un tout autre jour, la colère laissant place à l’amertume, puis aux remords et à la peur d’être seul.

Ce serait ça, la vie. Des gens qui s’éloignent et qui s’aiment malgré tout, comme cette mère, troublée de voir son enfant devenir un homme ; comme ce fils qui lave le corps de son père, malade d’Alzheimer…

C’est ça, la vie, des étincelles d’humanité dans la noirceur et la violence.

 
Des dieux sans pitié, Chistophe Tsiolkas,  nouvelles traduites de l’anglais (Australie) par Jean-Luc Piningre, Ed. Belfond, mai 3017, 288 pp