Notre exploration des quatrièmes de couverture aimablement fournies par les éditeurs , nous offre l’argument Des dieux sans pitié,
Sauvages, puissants, dérangeants, crus, quinze textes portés par l’écriture rageuse de l’enfant terrible des lettres australiennes, pour continuer à nous interroger sur une société multiculturelle et décadente où couvent haine, racisme et frustration et où nous avançons, tels des dieux sans pitié.
Ce serait ça, la vie. Des gens qui s’éloignent et qui s’aiment malgré tout, comme cette mère, troublée de voir son enfant devenir un homme ; comme ce fils qui lave le corps de son père, malade d’Alzheimer…
C’est ça, la vie, des étincelles d’humanité dans la noirceur et la violence.
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