Voici la quatrième de couverture d’un premier roman néerlandais qui a connu un joli succès de découverte:
Leurs histoires sont faites de bonheurs inattendus, de complications dérisoires, de secrets trop lourds à porter et d’espoirs inavouables. Lou, Eva, Casper, Elsie et Jos : cinq narrateurs, trois générations, des questionnements universels. De 12 à 71 ans, leurs points de vue diffèrent, mais la question reste la même : qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?
Plaisirs minuscules saisis au vol, cœurs prêts à éclater, Bien des ciels au-dessus du septième capte la poésie du quotidien et restitue les sentiments doux-amers qui unissent les hommes. Une comédie dramatique à la sincérité désarmante, tendre et douloureuse à la fois.
Bien des ciels au-dessus du septième, Griet Op de Beeck, roman traduit du néerlandais (Belgique) par Isabelle Rosselin. Ed Héloïse d’Ormesson, mai 2017, 336 pp
Commentaires récents