L’oeuvre au noir vous donne des boutons, Les mémoires d’Adrien vous rendent amnésiques, …vous faites partie de ces irréductibles – j’en suis, piètre romaniste devant l »Eternel – qui n’ont jamais franchi le premier chapitre d’un ouvrage de l’illustre auteur….
Suivez dès lors le conseil de Michèle Goslar: passez directement au deuxième chapitre…
Michèle Goslar, administratrice déléguée du Centre International de documentation Marguerite Yourcenar (le CIDMY, 65 rue des Tanneurs, à 1000 Bruxelles) était l’invitée de Corinne Boulangier et de l’émission « Bonjour quand même » (La Première – 9 heures), à l’occasion de la sortie de son ouvrage Voyager avec Marguerite Yourcenar. Le bris des routines (La Quinzaine littéraire / Louis Vuitton) Si vous avez manqué l’émission, je vous invite instamment à la podcaster: gageons que l’entretien vous transportera – l’enthousiasme de Corinne Boulangier a trouvé une brillante avocate en la personne de Michèle Goslar – et que vous dépoussièrerez, comme moi, une grande partie de vos préjugés.
La difficulté d’aborder Marguerite Yourcenar résiderait plutôt dans l’élévation de sa pensée que dans son écriture proprement dite.
Il n’y a que les sottes qui ne changent pas d’avis; j’ai résolu de ne pas en être.
A noter que Michèle Goslar est l’invitée de Monique Dorsel, ce soir, à 20 h30 au Théâtre-Poème, 30 rue d’Ecosse, à 106 Bruxelles. Elle sera interviewée par Jacques Franck (lecture de texte par Monique Dorsel)
Apolline Elter
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