Intéressant, le « pitch » du film – il est question de surendettement et du (dernier) combat d’une juge atteinte d’une tumeur au cerveau – attrayante, la distribution – Marie Gillain et Vincent Lindon campent une justice poussée par un preux combat: forcer les entreprises de crédit à pratiquer un langage clair envers leurs obligés…..Malheureusement, pétri de (trop) nobles sentiments, le scenario ne tient guère la route, le jeu de Claire (Marie Gillain) est sanctifié de sacrifices et d’un pathos difficilement crédibles.
Le réalisateur de « Je vais bien, ne t’en fais pas » va sans doute, un peu trop loin.
Dommage.
Apolline Elter
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