« Stefan Zweig à l’été 1936. Il regarde la mer par la grande fenêtre et pense, avec émotion, appréhension et joie mêlées, à la communauté des réfugiés qu’il s’apprête à rejoindre. »
Une communauté d’amis, d’esprits , Joseph Roth, Irmgard Keun, Hermann Kesten, ….qui se retrouvent au café Flore. Stefan Zweig séjourne dans un appartement d’Ostende; il a emmené sa secrétaire et maîtresse Lotte Altmann, munie de son indispensable machine à écrire.
Radioscopie d’un été en la célèbre station balnéaire belge, celle où réside le peintre James Ensor, qui voit la montée en puissance du fascisme et le coup d’Etat perpétré par Franco, le 17 juillet 1936, le récit de Voler Weidermann préfigure l’inéluctable fin d’une époque, profile le conflit à venir
AE
Ostende 1936, Un été avec Stefan Zweig, Volker Weidermann, essai, traduit de l’allemand par Frédéric Joly, Ed Piranha, avril 2015, 160 pp
Commentaires récents