Quelle belle image que celle de l’éventail – surtout ne pensez pas que je suis de parti-pris – pour déployer les richesses de la littérature japonaise à travers le temps, les siècles, genres, .. ambivalences, mystères, correspondances entre les auteurs.
Le parcours est d’autant plus neuf qu’à part Kawabata (Prix Nobel de littérature 1968), nous devons avouer rien n’y connaître en matière de classiques japonais. Mythologies, Théâtre Nô, analyses et anecdotes ponctuent ce riche voyage en âme nippone.
Une enquête richement étayée de lectures – Diane de Margerie maîtrise le sujet – guidée par le mantra « qu’il y a toujours un sens caché derrière les apparences. »
Mon éventail japonais, Diane de Margerie, essai, Ed. Philippe Rey, mars 2016, 208 pp
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