Dans le récit de ses relations avec Louise de Vilmorin, Jean Chalon lui rend un bien charmant hommage
» Louise me fait parfois l’effet d’un lutin civilisé qui vous entraîne, comme par effraction, dans un monde irréel qui, avec son vin de Champagne et ses rideaux en dentelles, ressemble au monde réel dans lequel vit cette même Louise. Cette aristocrate pratique un socialisme élégant, fastueux et voudrait que tout le monde habite des hôtels particuliers.
J’ai rarement vu une telle obsession de charité, de bonheur universel… »
Florence et Louise, Les Magnifiques – Florence Jay-Gould et Louise de Vilmorin, Jean Chalon, récit, Ed du Rocher, 1987, 176 pp