A priori, je craignais les poncifs. Le côté tarte à la crème de ce goût de merveilleux.
Affiché romantique, le scénario confronte une jeune veuve qui tente courageusement de sauver son activité agricole de la faillite à un autiste atteint du syndrome d’Asperger, le tout sur fond idyllique de Drôme provençale – Nyons, Piégon et les vergers abricotiers.
Ce fut une belle et suprise
L’interprétation magistrale de Benjamin Laverne (Pierre), être différent, décalé, érudit et sensible, celle, subtile et généreuse de Virgnie Effra (Louise), de ses enfants, dont Lucie Fagedet (héroÎne de la série « Parents mode d’emploi) traverse allègrement les écueils pour donner cours à un film tout simplement beau, pétri d’humanité
Je vous le recommande
Le goût des merveilles, un film d’Eric Besnard, 2015
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