« Jusque là, je n’avais jamais soupçonné, pas même de façon confuse, qu’il existât un métier aussi difficile et pour ainsi dire impossible à apprendre- non je n’imaginais pas quel art terrible, au suspense cruel est celui du […], qui exerce en pleine rue et en plein jour. »
Pris de curiosité puis de fascination, d’empathie pour les agissements d’un […] dans les rues de Paris, le narrateur de la nouvelle décrit avec un art jubilatoire, cinématographique, facettes et enjeux de ce métier dont il découvre le fonctionnement. Un métier qu’il érige en art
Je vous laisse le découvrir au fil des pages et de sublimes descriptions
AE
Découverte inopinée d’un vrai métier, suivi de La vieille dette, nouvelles de Stefan Zweig traduites de l’allemand (Autriche) par Isabelle Kalinowski et Nicole Taubes, Folio 2 €, décembre 2014, 116 pp. Edition établie sous la direction de Jean-Pierre Lefebvre
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