« Femmes en train que l’entrain parfois abandonne et laisse sur un débarcadère désert, une voie de garage. »
Trajets en transports en commun, accident mortel d’un élève, missives congolaises de l’Oncle Eric, grossesse…sont tant de circonstances qui invitent le lecteur à un dialogue constructif, toutes générations bienvenues. Des « pré-textes » bienfaisants, en quelque sorte.
« Ici je pose mes regrets et mes projets. Ici je croise des hommes et des femmes de tout bord. J’écoute, j’apprends; j’aiguise mon outil. Je me sens écrire surtout. »
Apolline Elter
Courir sous l’averse, Colette Nys-Mazure, Ed. Desclée de Brouwer, Littérature ouverte, oct. 2009, 190 pp, 14 €
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