« Ce livre n’est pas une biographie » nous prévient d’emblée Maryline Martin
» J’ai souhaité dessiner la carte du tendre, en évoquant la mémoire de ces deux femmes, à la faveur des dernières vacances du chanteur à Lézardrieux. »
Et c’est mission accomplie.
Georges – as « Jo » – eût eu cent ans aujourd’hui; il disparaît le 25 octobre 1981, emporté par un cancer de l’intestin, alors qu’il vient tout juste de fêter son 60e anniversaire
Centré sur les deux femmes de sa vie : sa bien-Fée – trice, et bretonne Jeanne, amante puis mère de substitution et sa compagne, muse, « Blonde chenille », Joha,Heiman surnommée » Püpchen. « , avec cette affectueuse manie des surnoms qu’affichait Jo, le récit se focalise sur le dernier séjour du chanteur, en Ker Flandry, sa maison de vacances de Lézardrieux ( Bretagne – Côtes- d’Armor)
Il nous rappelle aussi,- surtout ? – que le chanteur était un grand poète devant l’Eternel.
Son nom est entré au dictionnaire Larousse dès 1967
A Elter
Brassens, Jeanne et Joha,, Maryline Martin, récit, Ed du Rocher, septembre 2021, 184 pp