Apollinaria Souslova a vraiment existé. Fille d’un serf russe émancipé, passionnée de littérature, d’écriture, elle rencontre, en 1861, à Saint-Pétersbourg, L’Ecrivain, à savoir, le célèbre Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski. S’ensuit une passion charnelle, amoureuse, inspiratrice et destructrice à la fois, nourrie de voyages à travers l’Europe et de rêves d’indépendance.
» Elle alalit se frotter à Paris, cet endroit où les gens étaient froids et calculateurs selon Fédor. Cela lui convenait, n’était-elle pas elle-même devenue glaciale et dure comme du granit, ces derniers mois? Elle avait tenu bon et maintenant ses idées étaient claires: elle allait faire la démonstration de ce qu’elle était au fond, une femme forte, indépendante. »
Apollinaria. Une passion russe, Capucine Motte, roman, JC Lattès, avril 2013, 296 ppn 18,5 €
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