Estimés visiteurs,
Nous n’avosn pas le monopole de la canicule
Ecoutons Honoré (de Balzac) dénoncer, ce jeudi 6 août 1846 les effets ‘dissolvants’ d’une chaleur par trop intense
La lettre est écrite de Paris et adressée à sa chère Eva Hnaska, en séjour à Greuznach,
La chaleur est aujourd’hui si dissolvante , que je n’ai pu écrire un mot ; je trempe deux chemises par jour à rester dans mon fauteuil et à relire Walter Scott »
Correspondance de H. de Balzac II 1819-1850, Honoré de Balzac – Paris Calmann Lévy 1876