« Par-dessus tout, c’était l’encre qui me fascinait.
Si je goûtais à ce bâton, quelle saveur aurait-il? Ce serait bien sûr délicieux, encore plus que du chocolat ou un bonbon. J’en étais persuadée. J’adorais l’arôme léger et mystérieux qui flottait quand l’Aînée préparait de l’encre. »
La papeterie Tsubaki, Ogawa Ito, roman traduit du japonais par Myriam Dartois- Ako, Ed. Philippe Picquier, août 2018, 376 pp