Souffrez Marquise que je vous batte froid quelque temps..
Tant pis si peu vous en chaut.
Je reviens tout juste de Grignan où je rencontrai pour la troisième fois, cette année, Françoise, votre fille tant aimée. Je fus charmée.
Et de me confier le chagrin de ne pas répondre à l’immense attente que vous placez en elle, à cet amour exorbité dont vous l’accablez.
« L’amour maternel fait mal s’il accompagne ses exigences de tant de versatilité«
Françoise de Grignan ou le mal d’amour, Jacqueline Duchêne, Fayard, 1985
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