Emile Zola a le culte de l’amitié, celui de la transparence, de la loyauté.
Alors quand surgit un malentendu entre lui et son « cher Goncourt » – entendez Edmond de Goncourt, redoutez sa mauvaise langue – Emile met les choses au point:
« (…) Si je me décide à vous écrire, c’est que la situation n’est plus nette entre nous, et que votre dignité comme la mienne exige que nous sachions à quoi nous en tenir sur nos rapports d’amis et de confrères.
Cordialement à vous.
Emile Zola«
conclut-il sa courte et offusquée missive du 13 octobre 1887.
Le motif du quiproquo, vous le découvrirez à la lecture de :
Zola. Correspondance. Choix de textes et présentation par Alain Pagès,Ed. Garnier Flammarion, février 2012, 382 pp
ou en assistant aux soirées du jeudi… au Pavillon
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