Dans une longue – forcément – missieve adressée à Mafame Hanka; le 16 octobre 1844, Honoré évoque leur passion commune pour le parfum
« Comment pouvez-vous me recommander votre parfumeur? je ne pense qu’à cela ! j’ai maudit Viardot de ne pas m’avoir averti de son arrivée; vous auriez déjà votre provision. Mais, si nous nous voyons à Dresde, vous aurez, chère comtesse, des parfums .pour le reste de vos jours. j’en réponds. Nous avons donc aussi les mêmes vices, car je-porte la passion des fines odeurs jusqu’à en faire un défaut. »
S Correspondance de H. de Balzac II 1819-1850, Honoré de Balzac – Paris Calmann Lévy 1876