Dans son dernier roman ( voir chronique du 6 septembre sur ce site) l’écrivain Yann Moix fustige – et « mar-dite »‘ la « salve« de correspondance amoureuse dont il accabla l’élue de l’époque
» Il entre toutefois une grande lâcheté dans l’envoi de lettres de conquête amoureuse. C’est à l’autre, que nous n’osons affronter dans la réalité, de se débattre avec l’étalage épouvantable de nos sentiments, livrés par tombereaux. »
Orléans, Yann Moix, roman, Ed. Grasset, août 2019, 272 pp