Amélie Nothomb fut invitée d’honneur – aux côtés d’Eric-Emmanuel Schmitt-, début juillet, du Festival de la correspondance de Grignan.
Et pour cause, l’écrivain est avant tout une prolixe épistolière.
Nous l’avons rencontrée, en la mairie de Grignan, quelques minutes avant l’inauguration officielle du Festival et avons conversé …correspondance.
Affable, d’une courtoisie exquise, Amélie Nothomb est dotée d’une mémoire remarquable.
Et de reconnaître, dans l’assemblée venue l’ovationner, quelques fidèles correspondants.
Je vous invite, en ce mardi-tes-moi de rentrée épistolaire, à découvrir le reportage que consacrait le JT de France 2, à 13 h, le samedi 7 juillet :
https://www.msn.com/fr-be/video/actualite/festival-de-la-correspondance-rencontre-avec-am%C3%A9lie-nothomb-%C3%A0-grignan/vi-AAzId1K?ocid=sf
Ou à cliquer sur ce lien via le Facebook du Festival de la correspondance : https://www.facebook.com/Festival-de-la-correspondance-de-Grignan-138594936213117
» (…) Que c’est beau. Comme j’ai bien fait de venir. Vive le Festival de Grignan sans lequel je n’aurais jamais vu cette Drôme absolument sublime« , s’extasie-t-elle depuis une terrasse du château de Grignan.
Et Amélie Nothomb de rendre hommage à un festival qui « glorifie la correspondance. »
D’ajouter » La correspondance, c’est toute ma vie.
Je suis écrivain seulement depuis que j’ai 25 ans alors que je suis épistolière depuis que j’ai six ans. »
Consigne était en effet donnée, aux trois enfants Nothomb, résidant au Japon, d’écrire, chaque dimanche soir, à ce grand-père belge, qu’ils ne connaissaient pas .
» Je suis sûre que cela a plus compté dans ma vie que n’importe quoi pour faire de moi non seulement un écrivain mais en plus, cet écrivain-là »
Votre épistolière,
Apolline Elter