Mar-di-tes moi Jean Cocteau et donnez tort à Baudelaire

Dans une lettre du dimanche 28 février 1954  –  Jean Cocteau enjoint à son cher Jean Marais, grippé et  de séjour à Bruxelles pour représentations,  de se soigner et reposer entre les spectacles .

Mon Jeannot,

(…)

Raconte Bruxelles – ce si étrange public et ces non moins étranges journalistes. Mais peut-être saurez-vous vaincre tout  cela et donnerez-vous tort à Baudelaire . »

On l’espère

Apolline Elter

Lettres  à Jean Marais, Jean Cocteau, recueil, Ed. Albin Michel, 1987, 506 pp

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