Fin (il était temps) de l’éloge de la marquise (de Sévigné) par Emile Faguet, historien de la littérature, dans Etudes et portraits littéraires (1885).
« A tout prendre, les Lettres de Mme de Sévigné sont un des ouvrages où se marque le mieux, surtout en ses qualités les plus rares, cette chose légère et charmante, à peu près indéfinissable, mais que nous sentons si vivement et que nous goûtons avec passion, et qui s’appelle l’esprit français. »
Mercredi prochain: nouveau rendez-vous avec Viginia Woolf et notre chère épistolière
Madame de Sévigné, vue par des écrivains, de Bussy-Rabutin à Philippe Sollers, textes réunis par Marie-Hélène Sabard, Préface de Roger Duchêne, Paris, Ecole des Lettres, 1996.
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