La rencontre organisée autour de Freud et ..de Lydia Flem, lors du Festival de la correspondance de Grignan (compte rendu sur ce blog, hier, mercredi 5 août, et sous le titre, Freud, prolixe épistolier) faisait état de la célèbre lettre du 14 mai 1922, que le père de la psychanalyse adresse à Arthur Schnitzler à l’occasion du soixantième anniversaire de l’écrivain.
On y découvre le touchant aveu freudien: « Pourquoi, en vérité, durant toutes ces années, n’ai-je jamais cherché à vous fréquenter et à avoir avec vous une conversation ? […] Je pense que je vous ai évité par une sorte de crainte de rencontrer mon double.
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