En ce week-end de passage à l’heure d’été, je dédie ma chronique aux allumeurs de réverbères, fendue d’une nouvelle lecture du célébrissime Petit Prince (d’Antoine de Saint Exupéry, cela va sans dire) .
Ce conte pour enfants se profile comme une tentative – mélancolique – de dialogue entre St Ex adulte et l’enfant qu’il n’a jamais cessé d’être.
Et ce, sur fond, d’un exil à New York qui le meurtrit profondément
Penchons-nous sur la dédicace offerte à Léon Werth, son ami juif,
Le Petit Prince, Antoine de Saint Exupéry, conte, Ed. Reynal & Hitchcock, 1943, Gallimard 1946 / Folio 1999, 104 pp