Quand le lundi revêt pour vous sa robe de pluie, de spleen, vous assène un petit coup de cafard, songez à l’ami Fély
Voici ce qu’il télégraphie
A Joséphin Péladan, son jeune ami
« (…) J’ai mon spleen! Je me couperais une jambe pour amuser l’autre, & je suis incapable de pensées suivies. »
huin [1883]
Félicien Rops – Joséphin Péladan – Correspondance réunie, présentée et annotée par Hélène Védrine, Ed. Séguier, 1997, 266 pp