Nous démarrons aujourd’hui dix octobre, le cycle d’étude de la correspondance d’Emile Zola (1840- 1902) . Celle-ci est généreuse, abondante, obéissant la plupart du temps au principe de transparence cher au grand écrivain. Il nous invite à la découvrir; je vous invite à constituer de joyeux comités ( de 6 à 10 personnes) pour rejoindre les Salon des Marquises et Pavillon de la Littérature, au gré de deux modules de deux heures et de jeudis vitaminés.
Nous apprendrons que la correspondance est
– vivier d’amitié
– laboratoire d’écriture
– complice de cette bigamie qui lui fera aimer deux femmes – Alexandrine et Jeanne – et ne jamais les renier.
Ses lettres ouvertes nous mènent au célébrissime » J’accuse » , (13 janvier 1898) et à l’accompagner dans son exil londonien.
Le père des Rougon-Macquart est gigantesque, fascinant; l’épistolier ne l’est pas moins
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Apolline Elter
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