Mardi, Le Monde publiait des extraits de la lettre qu’Ingrid Betancourt, otage depuis février 2002 des Forces armées révolutionnaires de Colombie, adressait à sa Maman.
La lecture en est bouleversante.
L’auteur de "La rage au coeur", ouvrage dont je vous recommande formellement la lecture et l’achat (ce sera une forme de soutien à la cause) est épuisée, physiquement très affaiblie, moralement dépourvue, dépouillée.
Elle conserve une rage d’amour envers ses proches, d’admiration et de reconnaissance, dont nul ne pourra la priver.
Comme c’est dur.
Quelle sera l’issue de cet enfer?
j’ai justement rédigé un billet sur ce sujet. à paraître… je ne sais pas quand, demain ça sera le jour de mes doléances au grand Saint…