Il était une fois, un(e) marchand(e) de foie, …
C’est vrai qu’il fallait une bonne dose de foi, pour lancer, en 1984, l’épopée Upignac, au départ de la cuisine familiale…
Michel Petit, administrateur délégué d’Upignac, accueillait, jeudi 3 décembre, les lecteurs de l’Evénement, inscrits à un atelier de cuisine qui célébrait le « foie dans tous ses états »
Avec l’affabilité et la simplicité qui lui sont coutumières, Michel Petit traça l’aventure de l’entreprise, fondée il y a tout juste 25 ans, avec son épouse et l’aimable solidarité du clan familial. Des vingt canards pionniers, la société passa à la production à grande échelle qu’on lui connaît aujourd’hui, tout en sauvegardant l’ambiance familiale chère à ses fondateurs. Et Michel Petit de comparer la folle effervescence de fin d’année à l’ambiance des moissons et d’évoquer ces grandes tablées qui réunissent régulièrement une soixantaine de collaborateurs joyeusement éreintés de longues journées de travail.
L’humour était au rendez-vous : l’orateur régala ses auditeurs de quelques anecdotes truculentes de derrière les magrets.
L’on apprenait aussi que la consommation des Belges en matière de foie variait selon l’appartenance linguistique: les Bruxellois et les Wallons préférant le foie de canard (mulard) à celui d’oie, chéri par leurs compatriotes flamands. Quant aux Nippons, il représentent le cinquième pays consommateur de foie gras et se régaleront bientôt des productions de l’enseigne…
Le speech achevé, les participants furent répartis en 2 groupes, dirigés par MM Diego Valdes et Vincent Rodrigues, chefs à la Table d’Upignac, aux fins de composer un repas assez extraordinaire…
Madame Vangrieken , Monsieur Vangrieken, Madame Lenoir, Vincent Rodrigues.
Messieurs Verbeken et de Heusch
Mesdames Dailly et Beckers
Pôelée de champignons variés qui accompagnera le risotto crémeux et le foie gras saisi d’entrée.
Préparé par l’équipe dirigée par Diego Valdes, le plat principal truffa un fondant magret de foie gras , soutenu d’une colorée de poivrons et d’aubergines et une poêlée de pommes de terre façon tortilla (ou roësti) …
Mesdames de Heusch et François, à la mandoline
Les chefs: Diego Valdes et Vincent Rodrigues
Madame Bertsch, Monsieur et Madame de Heusch
Madame Wellekens
Les élèves sont gratifiés de gants en latex bleus et des conseils aiguisés des maîtres-cuisiniers.
Le repas se conclut par un pain perdu raffraîchi d’un sorbet aux poires (du verger d’Upignac? ), de fruits poêlés et d’une sauce d’agrumes particulièrement vivifiante.
Après échange de quelques plaisanteries animées par le plaisir d’avoir fait connaissance et par un facétieux Monsieur Verbeken, les participants reprirent les volants en direction de leurs résidences respectives …..
Apolline Elter
Upignac
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