» Virginia n’avait ni le charme d’une courtisane, ni celui d’une femme du monde, et certainement pas celui d’une Lily Langtry, d’une Maxime Elliott, ces beautés de Hyde Park, figure de proue pour bateaux de Vikings. Toute sa vie tournait autour du travail. Le temps n’apportait pas le talent, c’était le talent qui demandait du temps. »
Virginia et Vita, Christine Orban, roman, Albin Michel, janvier 2012, 234 pp, 17 €
Commentaires récents