« Très bien, tu trouves que c’est n’importe quoi. Mais tu sais, il Y a des gens incapables d’écrire une lettre malgré tous leurs efforts. Erre écrivain public, c’est agir dans l’ombre, comme les doublures des grands d’autrefois. Mais notre travail participe au bonheur des gens et ils nous en sont reconnaissants a-t-elle affirmé. »
La papeterie Tsubaki, Ogawa Ito, roman traduit du japonais par Myriam Dartois- Ako, Ed. Philippe Picquier, août 2018, 376 pp