» Les enfants Kelly vont tous rester dans le giron familial, sous l’emprise paternelle. Tous sauf une, Grace. Elle est la seule qui va inventer sa vie hors du schéma familial. Peut-être parce qu’elle n’entre pas dans le moule. Peut-être parce qu’étant la moins regardée, elle peut s’échapper plus facilement. (…) Peut-être aussi parce qu’elle est aidée par les circonstances. »
Les blondes de l’Histoire, Agnès Grossmann, essai, Ed. Acropole, mai 2018, 352 pp