« Cet enfant nous séduisit immédiatement. Avec cette évidence ébahie d’un amour dont on ne sait pas où il prend sa source.
C’était « notre fils ». C’était le fils de l’homme slave.
C’était le petit être fantasmé depuis des années par la jeune femme tenace, audacieuse, que j’avais été, tout de même. »
N’oublie pas les oiseaux, Murielle Magellan, roman, Ed. Julliard, janvier 2014, 342 pp, 21 €
Un titre qui incite à lire le livre.
Amicalement
Je vous y engage instamment..
Merci pour ce gentil commentaire
AE