« Regarder une toile de Bonnard est une aventure jouissive pour l’oeil. De nombreux points de vue circulent sur la surface du tableau, hors des existences habituelles. Chez Bonnard, les lois de la perspective deviennent fictives, non fixes, comme une insolence qui libère le regardeur. (…) Nous sommes dehors en étant dedans, abasourdis, créateurs. «
« L’indolente, – Le mystère Marthe Bonnard, Françoise Cloarec, essai, Ed. Stock, septembre 2016, 350 pp
Rerndez-vous samedi 24 septembre sur ce blog pour le billet de ferveur que l’auteur nous consent.
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