» Tu savais, toi seul, mon Tonio, que l’amour est le plus direct chemin et le plus court, tu me disais : « Pour qu’une rose soit belle, il faut un jardinier qui s’en occupe, la soigne, l’arrose. » Mais tu n’es plus là, aujourd’hui, et ta rose se fane sans son jardinier. »
Lettres du dimanche, Consuelo de Saint-Exupéry, préfacées d’Alain Vircondet, Plon, 2001, 186 pp
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