« Zweig reste lié dans mon souvenir à des ombres et à la nuit. C’est évidemment à cause de ses nouvelles, qui se déroulent sans aucune exception quand le jour n’est plus, dans la lumière équivoque d’un crépuscule ou à la tombée du soir. La couleur de son univers romanesque est uniformément sombre, joue de la gamme des gris au noir. »
Mes vies secrètes, Dominique Bona, essai, Ed. Gallimard, janvier 2019, 320 pp